[2][Chateau des Rois]Prendre de la hauteur

Après la discution avec son frère, Adelicia était aller se changer, enfilant une robe noir à dentelle blanche, unes des robes qui étaientt trop grandes pour elle avant.
La jeune femme traversa le chateau puis monta en haut de la plus haute tour du chateau, une tour qui surplombait toute la ville, tout le chateau.

"Pouriez vous me laissez je vous pris..."

Le garde regarda Adelicia, au ton triste de la jeune femme, mieu valait la laisser.

"Bien princesse..."

Il parti dans les escaliers alors qu'Adelicia alla s'assoir sur un creno, les jambes dans le vide.
La jeune femme resta à fixé droit devant elle, l'horizon, son espris était parti ailleur.

Bélial s'était assis sur un banc apres l'annonce faite par la princesse. Ainsi, elle était revenue ? c'était plus qu'inespéré pour s'amuser un peu à semer la discorde et servir les intérents de son maitre.

Bélial sucitait bien des regards dans la rue, non seulement la nouvelle de la mort de la reine ne semblait pas l'affecter, mais sa veste a carreau rouge et noir terminé à l'arriere en queue de pie, et son chapeau haute forme violet lui donnait un air de bouffon. Elle avait pourtant cette grace et cette aurad e mystére autour d'elle, cultivé par le fait qu'elle était déguisé en garçon.

*hmm, j'irai bien embetter cette chere petite, cela fait lontemps que je ne me suis pas amusé, et puis ... elle ferait une reine parfaite pour le seigneur noir.*

Il se releva, et s'éloigna pour finalement disparaitre au détour d'une ruelle sans etre vue. Il réaparrue alors, tout du moin sa tete, comme sortant du sol de la tour ou était Adelicia.

"Bonjour princesse, ou devrais je dire bonjour ma reine, c'est une belle journée pour jouer à chat perché non ? J'espere tout de meme que vous ne tomberez pas ."

Bélial lui sourit en s'élevant pour finir par etre completement visible, ayant posé ses pieds sur le sol comme Adelicia... ah ces convenances si ennuyeuse tel que les lois de la gravité.

Sursaute puis se retourne, regardant Belial avec des yeux rond, debout sur le crénot, l'air méfiante.

"Qui êtes vous..."

Adelicia fronça les sourcils en regardant Bélial, les yeux brillant bien qu'aucune larmes n'était apparante.

"et qu'est ce que vous voulez..."

La jeune femme restait debout, sur son crénot, au bord du vide.
Sa robe noir bougeait au grès du vent, tout comme ses cheveux long

Bélial afficha un air triste et ajouta d'une voix douce.

"Je ne voulais pas vous faire peur, ma douce reine, mais le loyal sujet que je suis n'a pu résister à l'envie de vous et d'entendre votre si jolie voix."

Il sourit finalement, avant de lui dire d'une voix charmeuse.

"eh bien allons y , et sans trucage ! "

A ses mots, il s'inclina ensuite, avec un geste du chapeau d'une élégance rare qui donnait l'impression qu'il était maitre dans l'art de la scene.

"Nous somme Bélial, mais on nous nomme chapelier fou. Tout droit originaire du 9 ieme niveau des enfers, quartier général de nos armées diaboliques, terres des plus grands démons, le coeur des tenebres commandé par sa majesté Lucifer. Nous avons parcourut un long chemin pour venir jusqu'a vous et nous somme ravis de faire votre connaissance votre altesse."

Il se recula avec prestance, et sauta sur un crénaux de la tour pour s'y assoir.

"Vos si belles larmes ont blessés notre coeur amoureux, une demoiselle telle que vous n'est pas faite pour pleurer."

Il remit son chapeau sur la tete, et en profita pour sortir une rose noir dont ne sait ou.

"J'espere que notre présence ne vous dérange pas."

Se retourne pour se rassoir comme elle était avant l'apparition de Belial.

"Pas la peine de faire le leche botte, les demons sont aussi idiot que ca?"

Commence mal, n'étant pas vraiment d'humeur à jouer.
Garde une voix vide, sans sentiment, regardant l'orizon éclairé par la lune.

"Et que voulez vous exactement, au lieu de raconter des idioties..."

Emet un leger soupir

"Les demons sont si préssé que ca de nous précipité dans le vide pour avoir prise sur ces terres?"

Bélial rit joyeusement devant l'attitude de la princesse.

"Voyons majesté, si j'était animé de tel pensée, vous seriez déja sur le sol en bas, abreuvant les plantes de votre sang, pour y laisser fleurir des roses. c'est ainsi que va la vie, mais je ne suis pas comme ça.

En faite, je venais vous proposer une alliance, les formalités d'usage en cas de changement de pouvoir. Serrez vous contre nous lors de la bataille contre les cieux ? ou peut on compter sur votre soutient ? Vous pouriez épouser sa majesté Lucifer, votre peuple ne manquerait plus de rien."

Il resta ainsi, avant de rajouter.

"Croyez le ou non, Lucifer a été fasciné par votre beauté et la noblesse de vos sentiments, il ne peut se résoudre à vous voir allier avec ses anges villes et cruels."

Adelicia resta à fixé devant elle, dans le vague, affichant un visage triste aux paroles de Bélial.

"J'ai déja un mari...et pour un pacte avec le diable, voyez avec mon frère..."

La jeune femme garde une voix légère, sans conviction puis posa son regard sur le chapelier.

"Mais sa réponse sera comme la mienne...jamais..."

Elle reposa son regard sur la ville ou quelque voleur annimai la ville morte.

"Je doute que de ramener votre chaos chez nous aidera mon peuple..."

Adelicia ferma les yeux quelques instant

"ma mére vien de mourir...je n'ai que faire de tout ca...j'ai perdu ma vie...si jamais j'en ai eu une...alors, revenez donc parler de ca dans quelques semaine..."

Une larme coula doucement sur sa joues à l'évocation de la mort de sa mére, de sa vie

Bélial sourit intérieurement devant les paroles d'Adelicia et commenca d'une voix et d'un air triste.

"Vous comprendrai bien sur qu'une alliance avec Lucifer pourrait vous rendre votre mere. C'est tout à fait possible, tant que son corps reste en état. Vous savez nous ne sommes pas si cruel que vous le dite. Notre coeur se brisent en morceau devant la froideur de vos paroles.

Dire que nous esperions etre touchée par votre lumiere, comme ce peuple que vous aimons tant. Nous privé d'amour par décret des cieux, ne peut on espérer quelque chose des humains, et de leur reine si sensible et noble ?

Si meme vous ne nous laissez pas une chance, alors sommes nous voués à disparaitre dans l'oublie, pour avoir simplement ne pas voulu suivre les regles de dieux ? "

Il était conscient qu'il touchait un point sensible avec le refus des regles, n'avait elle pas fuit elle ?

"Seront nous condamné à jamais pour avoir oser penser un jour etre libre ? j'admet que certains d'entre nous sont cruels, froid ... mais n'y a pas d'égale dans votre monde humain ? avec les bandits, les mauvaises gens... Seront nous condamné à vivre comme des rejetés, des déchus , toute notre vie."



La phrase s'acheva dans un sanglot bien imité, Bélial faisant venir des larmes dans ses yeux. Il se referma sur lui meme et attendit un signe de la princesse, restant ainsi comme s'il avait honte de pleurer.

Adelicia balbutie quelques mots, faible, quelques larmes coulant sur ses joues.

"faire revenir...ma...ma mére..."

Elle avait perdu trop de temps, la mort précipité de sa mére avait rouvert une bléssure qu'elle avait essayer de cacher, la douleur de cette bléssure avait été ravivé par les paroles et l'espoir que lui donnait Bélial.

"Elle...elle pourait revivre..."

La jeune femme perda ses allures de femme, sa sensibilité et naïveté apparaissant.
Elle écouta belial terminer son discour puis posa doucement une main sur son épaule avec un regard triste.

"je suis désolé...je ne sait des demons que ce qu'on a bien voulu me dire..."

Adelicia baissa la tête quelques instant, fermant les yeux, étant complètement tomber dans le panneau du chapelier.

"je comprend...les règles ne sont pas toujours juste...je...je vais y réfléchir, mais je n'ai que peut d'influence et le trone reviendra à mon frère ou mon mari..."

Le chapelier releva la tete et caressa la main de la princesse.

"Elle peut revivre oui, Il ya des élixirs en enfer pour faire revenir les morts de la vie. Mais je doit vous prévenir, ce ne serait pas éternel, enfin, elle revivrait deux semaines ainsi. Vous voyez, je ne cherche pas à vous tromper ."


Sa voix était douce et tendre alors qu'il parlait, caressant toujours sa main.

"Ce que vous savez des démons n'est qu'une ombre répandus par les cieux ... Mené par Lucifer, nous avons mené une révolte pour etre libre. l'amour est interdit au paradis, vous imaginer ? ne pas avoir le droit d'aimer, meme pas sa famille. meme si la haine est présente en nous, nous aimons aussi, et les anges se targuent de principe moraux pour assouvir leur manque par le meurtre d'autrui. Nous démons, nous tuons sans chercher à nous justifier, nous sommes ce que nous sommes, et parfois nous en souffront. Si vous voulliez croire en nous, si vous voulliez croire en moi, alors la larve que je suis deviendrai un papillon. "

Il la regardait dans les yeux en caressant sa joue.

"Vous n'etes pas faite pour souffrir, mais pour rire et chanter, danser et vivre vous aussi... vous voyez aussi absurdement que cela puisse paraitre, vous me comprennez mieux que personne."

Bélial se leva, et appuya doucement sa tete sur l'épaule d'Adelicia.

"Les anges n'ont meme pas le droit de soutenir leur proches, de les enlasser, ses marques d'affections sont interdites ... C'est pour cela que nous menons la guerre ... pour vivre de la maniere que nous voullons."

Adelicia fronça les sourcils quelques instant, pensant à sa mére.

"deux semaine..."

Elle ferma les yeux quelques instant tout en écoutant Bélial, attendrit et désolé, ne voyant pas le piège, étant bien trop toucher par la mort de sa mére, et son refus des règles.

"ca doit être dur...ne pas aimer..."

La jeune fille se laissa faire, rouvrant les yeux et regardant l'orizon.

"tout le monde devrai avoir le droit d'aimer, de vivre de cet amour...en toute liberté...
Je comprend ce que c'est...toute mon enfance, j'ai été bercé dans le mensonge...et me voila bientot marié à un homme que je n'aimerai pas...
Malgrès ca, je doit m'y faire, je fait ca pour mon peuple, et je l'ai promis à ma mére...
même si je voulait croire en vous, faire une alliance avec ce Lucifer, je ne pourait pas....je n'en ai pas les pouvoirs...
J'ai perdu la confiance de mon peuple, ma crédibilité pendant ces trois derniére année..."

Belial l'enlaca doucement et resta ainsi, continuant de parler d'une voix douce, presque comme pour la bercer.

"Oui c'est tres dur ... toujours aller contre soi."

il caressa légerement son dos.

"Je sais que vous saurez retrouver la confiance de votre peuple. Vous etes nobles et droite, et j'ai confiance en vous. Lucifer ne demande rien, dans cette alliance, il aimeraie simplement ne pas avoir à s'opposer a une armée humaine, de maniere a éviter les pertes inutiles dans les deux camps. Nous voullons croire en la liberté et la joie, moi meme je suis un artiste avant d'etre un démon. Les anges vous proposeront sans doute une alliance aussi, mais la ou nous vous proposons de ne pas soufrir dans une guerre qui ne vous regarde pas, eux voudront que vous y participier. Souvenez vous de ceci, et vous verrez que j'aurai raison, quand ils viendront."

Il se tut, restant ainsi, profitant de cette étreinte pour caliner Adelicia avec tendresse

"je comprend...mais vous comprendrez aussi que je n'ai pas la tête à ca..."

Adelicia repris une voix douce et légère, sa voix habituelle.
La jeune fille se laissa faire, fermant les yeux, plongeant dans ses pensés en restant silencieuse.

"j'en parlerai à mon frère..."

Elle rouvra les yeux puis posa son regard sur le chapelier avec un sourire

"excusez moi, je doit y aller, la fatigue ce fait sentir et des affaires m'attendent demain..."

Le chapelier la lacha doucement et s'inclina.

"Faites ce que vous voullez, nos ne vous forçons a rien.

Nous seront sur la tour quand vous nous appellerai, Bélial il suffira de pronconcer."

d'un envol de cape, il disparut completement, sans qu'elle voit par ou il était partit. Une voix tout de meme se fit entendre, venant d'un peu partout.

"bonne nuit princesse et garder espoir."

"Bonne nuit..."

Adelicia déscendit de son perchoir, laissant le garde revenir à sa place puis alla se coucher, tachant d'etre en forme pour la reunion avec les nobles le lendemain qui serait éprouvante pour elle.